Maladie du sommeil africaine (Trypanosomiase) : Transmise par les piqûres de la mouche tsé-tsé. Il existe deux types de maladie du sommeil africaine : l'Afrique de l'Est et l'Afrique de l'Ouest. Les noms sont basés sur la région d'Afrique où ils ont été historiquement trouvés. La maladie du sommeil est-africaine est plus aiguë et affecte le système nerveux central plus tôt que la maladie du sommeil ouest-africaine. En l'absence de traitement, les deux types de maladie du sommeil africaine évoluent généralement vers le décès du patient. Le risque d'infection est avéré en zones rurales.
Fièvre africaine à tiques : Transmise par les morsures de tiques. Les symptômes se développent généralement dans les deux semaines suivant une morsure de tique. Ils comprennent de la fièvre, des maux de tête et des douleurs musculaires. Certaines personnes développent une plaie rouge avec un centre sombre à l'endroit de la morsure de tique. Le risque d'infection existe dans les zones rurales.
Mal des montagnes : Certaines régions du Burundi se situent au-dessus de 2 440 mètres d'altitude (8000 pieds). Certains individus peuvent ressentir des effets néfastes sur leur santé à une telle altitude. Montez progressivement pour vous acclimater et restez attentif aux signes de mal d'altitude ou aux manifestations plus graves.
Chikungunya : Transmis par la piqûre d'un moustique infecté, principalement pendant la journée. La prévention des piqûres est essentielle. Les symptômes comprennent généralement de la fièvre, des douleurs articulaires, des douleurs musculaires, des maux de tête et une éruption cutanée. Les symptômes apparaissent généralement trois à sept jours après la piqûre. La plupart des personnes se rétablissent en une semaine, mais les douleurs articulaires peuvent parfois persister pendant des mois. Le risque d'infection est probablement présent dans tout le pays. Le risque est généralement plus élevé de mars à mai et de septembre à décembre.
Le choléra : Transmis par l'eau ou des aliments contaminés. Les poissons et crustacés crus provenant d'eaux contaminées sont susceptibles d'être infectés. La plupart des personnes infectées par le choléra ne présentent aucun symptôme ou seulement une légère diarrhée. Cependant, environ un patient infecté sur 10 développe un choléra sévère et présente des symptômes divers (cf. diarrhée abondante et aqueuse, vomissements, rythme cardiaque rapide, faible pression sanguine, crampes musculaires, agitation, irritabilité). Les symptômes apparaissent généralement deux à trois jours après l'exposition.
Dengue : Transmise par la piqûre d'un moustique infecté, principalement pendant la journée. La prévention des piqûres est essentielle. Parmi les divers symptômes de la dengue, relevons notamment : apparition soudaine de la fièvre, maux de tête sévères, douleurs derrière les yeux, douleurs musculaires et/ou articulaires, éruptions cutanées, ecchymoses faciles, et/ou saignement du nez ou des gencives. La fièvre et les autres symptômes apparaissent généralement de façon brutale quatre à sept jours après la piqûre. Certaines personnes ne présentent aucun symptôme. Le risque d'infection existe toute l'année, dans tout le pays. Le risque est généralement plus élevé de mars à mai et de septembre à décembre.
Hépatite A : Transmise par des aliments ou de l'eau contaminés. L'hépatite A ne provoque pas toujours de symptômes. S'ils se manifestent, les symptômes apparaissent deux à six semaines après l'exposition et comprennent la fièvre, les nausées, les vomissements, les douleurs abdominales, la fatigue, les urines foncées, la perte d'appétit, les douleurs articulaires et la jaunisse. Risque élevé au Burundi.
Hépatite B : Transmise par le sang et les fluides corporels infectés, et efficacement prévenue par la vaccination. Une urgence médicale ou dentaire inattendue peut mettre en danger le voyageur non vacciné. Adoptez des pratiques sexuelles sûres et veillez à ce que les procédures médicales, les tatouages ou les piercings soient effectués avec du matériel stérile. Les symptômes sont les suivants : fièvre, nausées, vomissements, douleurs abdominales, fatigue, urines foncées, perte d'appétit, douleurs articulaires et jaunisse. Risque élevé au Burundi.
Hépatite E : Transmise par des aliments ou de l'eau contaminés. Les symptômes apparaissent deux à huit semaines après l'exposition et comprennent fièvre, nausées, vomissements, douleurs abdominales, urine foncée, douleurs articulaires et jaunisse.
VIH/SIDA : Transmis par le sang et les fluides corporels infectés. Adoptez des pratiques sexuelles sûres et veillez à ce que les procédures médicales, les tatouages ou les piercings soient effectués avec du matériel stérile. Dans les deux à quatre semaines suivant l'infection par le VIH, de nombreuses personnes présentent un syndrome grippal comprenant de la fièvre, des glandes enflées, un mal de gorge, une éruption cutanée, de la fatigue, des douleurs musculaires et articulaires et des maux de tête. Ces symptômes, également appelés syndrome rétroviral aigu (SRA), peuvent durer de quelques jours à quelques semaines. L'infection évolue ensuite vers un stade de latence clinique et, au stade avancé, vers le SIDA (syndrome d'immunodéficience acquise).
Paludisme : Transmis par les piqûres de moustiques. Les symptômes du paludisme comprennent le plus souvent de la fièvre, des frissons, des maux de tête et des douleurs corporelles, des nausées et des vomissements, ainsi qu'un malaise général. Ces symptômes apparaissent généralement 10 à 28 jours après la piqûre d'un moustique infecté. On signale des cas où les symptômes se manifestent dès le septième jour et jusqu'à un an après. Des médicaments préventifs (prophylaxie) sont disponibles. Le risque d'infection est intermédiaire, avéré dans tout le pays.
Maladie à méningocoques : Elle se transmet par les gouttelettes respiratoires émises par la toux ou les éternuements. Les symptômes les plus courants de l'infection à méningocoques sont une raideur de la nuque, une forte fièvre, une sensibilité à la lumière, une confusion, des maux de tête et des vomissements. Ces symptômes apparaissent généralement deux à dix jours après l'exposition. Le risque d'infection existe dans tout le pays, en particulier dans les zones pauvres et densément peuplées.
Onchocercose : Transmis par les piqûres de mouches noires. Les symptômes de la cécité des rivières touchent à la fois la peau et les yeux. Ils comprennent une éruption cutanée et des nodules sous la peau, ainsi qu'une inflammation de l'œil, une sensibilité à la lumière, des cataractes et/ou des démangeaisons oculaires. Le risque d'infection existe principalement près des rivières et des ruisseaux à écoulement rapide. Le risque est le plus élevé dans les provinces de Bubanza, Bururi, Cibitoke, Rumonge et Rutana (carte).
Rage : Transmise par la salive de mammifères sauvages ou domestiques infectés, généralement par une morsure ou une griffure. Ne vous approchez pas des animaux inconnus. Les animaux sauvages et domestiques constituent une menace.
Schistosomiase : Transmise par de petites larves de parasites lors d'une exposition à des plans d'eau douce contaminés. Les symptômes comprennent une éruption cutanée qui démange, de la fièvre, des douleurs musculaires et de la toux. Sans traitement, la schistosomiase peut persister pendant des années et provoquer des douleurs abdominales, du sang dans les urines, des problèmes d'évacuation des urines, du sang dans les selles et une hypertrophie du foie.
Diarrhée du voyageur : Transmise par de l'eau ou des aliments contaminés. Il s'agit de la maladie la plus courante chez les voyageurs, accompagnée de nausées, de vomissements, de fièvre, de selles sanguinolentes et/ou l'envie d'aller constamment à la selle malgré un tractus gastro-intestinal vide. Risque élevé au Burundi.
Tuberculose : Transmise par les gouttelettes respiratoires émises par la toux ou les éternuements. Les personnes prévoyant un séjour prolongé effectueront un test cutané PPD pour se prémunir contre de futures infections suspectes. Les symptômes les plus courants sont des douleurs thoraciques, une mauvaise toux s'étirant sur plusieurs semaines et l'expectoration de sang et/ou de crachats. Certaines personnes présentent également des frissons, une perte de poids, de la fièvre, une faiblesse, des sueurs nocturnes et une perte d'appétit. Risque élevé au Burundi.
Fièvre typhoïde : Transmise par du lait, de l'eau et des aliments contaminés. Les poissons et crustacés crus provenant d'eaux contaminées sont susceptibles d'être infectés. Les symptômes de la fièvre typhoïde comprennent généralement la fièvre, des douleurs ou une gêne abdominale, des frissons et des courbatures, une faiblesse et une perte d'appétit.
Fièvre jaune : Transmise par les piqûres de moustiques. Les symptômes de la fièvre jaune comprennent la fièvre, des douleurs musculaires, des maux de dos et des frissons. Le Burundi est classé parmi les pays où la fièvre jaune est endémique. De nombreux Etats exigent une preuve de vaccination contre la fièvre jaune ou une dispense médicale valide pour tout voyageur ayant visité ou transité par des pays endémiques. Assurez-vous de vérifier les exigences en matière de vaccination contre la fièvre jaune pour le ou les prochains pays de votre itinéraire. Le risque d'infection existe dans tout le pays. Le risque est généralement plus élevé de mars à mai et de septembre à décembre.
Virus Zika : Transmis par la piqûre d'un moustique infecté, le plus souvent pendant la journée, ou par voie sexuelle par un partenaire infecté. La prévention des piqûres de moustiques et la pratique de rapports sexuels protégés sont essentielles. Dans de nombreux cas, le virus Zika est asymptomatique ; cependant, chez certains, il peut provoquer des symptômes similaires à ceux de la dengue et du chikungunya, notamment de la fièvre, des éruptions cutanées, des douleurs articulaires et des yeux rouges. D'importantes malformations congénitales ont été associées à l'infection par le virus Zika chez les femmes enceintes. Les partenaires de femmes ayant récemment voyagé dans une zone où circule le virus Zika sont encouragés à utiliser des préservatifs pendant au moins six mois ou pendant la durée de la grossesse de leur partenaire. Le risque d'infection est probable dans tout le pays. Le risque est généralement plus élevé de mars à mai et de septembre à décembre.
Les installations médicales au Burundi sont limitées et ne répondent pas aux normes des pays développés ; la stérilisation des équipements est sujette à caution, les traitements peu fiables. Les hôpitaux et les cliniques ont souvent de mauvaises pratiques d'hygiène et manquent de médicaments et d'équipements de base.
À Bujumbura, l'hôpital Kira et l'hôpital militaire de Kamenge offrent des services médicaux d'urgence et de routine, mais l'évacuation vers un pays disposant d'installations médicales plus avancées est encore souvent nécessaire en cas de blessure ou de maladie grave. Les services d'ambulance sont quasi inexistants en dehors de la capitale ; idem pour le service d'urgence. La plupart des hôpitaux et des médecins exigent généralement un paiement préalable, que vous ayez ou non une assurance maladie de voyage.
La disponibilité des produits pharmaceutiques peut être erratique ; de nombreux médicaments sur ordonnance et en vente libre peuvent être indisponibles ou de qualité douteuse.
L'approvisionnement en produits pharmaceutiques est généralement des plus limités en dehors de la capitale. Les voyageurs doivent disposer d'un stock suffisant de médicaments prescrits pour couvrir un éventuel manque de disponibilité dans le pays. Ces médicaments doivent être transportés dans le contenant original avec une note du médecin prescripteur ; certains peuvent être soumis à des restrictions d'importation.
L'eau courante est généralement impropre à la consommation au Burundi. N'utilisez que de l'eau en bouteille, bouillie ou purifiée pour boire et cuisiner. Ne consommez pas les glaçons fabriqués à partir de sources d'eau non purifiée. Ne mangez que des aliments bien cuits et servis chauds, ou des fruits et légumes que vous avez nettoyés et épluchés ; évitez les salades. Ne consommez que du lait et des produits laitiers pasteurisés, ou utilisez du lait en poudre ou en conserve. Évitez les vendeurs ambulants et les établissements alimentaires non réglementés.
Fièvre jaune : Vaccination requise
Le Burundi est classé parmi les pays où la fièvre jaune est endémique. De nombreux Etats exigent une preuve de vaccination contre la fièvre jaune ou une dispense médicale valide pour tout voyageur ayant visité ou transité par des pays endémiques. Vérifiez les exigences en matière de vaccination contre la fièvre jaune pour le ou les prochains pays figurant sur votre itinéraire. Une seule dose du vaccin contre la fièvre jaune est valable à vie. La vaccination est requise à l'arrivée pour tous les voyageurs âgés de neuf mois ou plus ayant visité ou transité par un aéroport d'un pays présentant un risque de transmission de la fièvre jaune.
Test de dépistage du VIH
Aucune restriction connue.
Vaccinations recommandées pour les voyages au Burundi
Les voyageurs doivent s'assurer qu'ils ont reçu les vaccinations de routine ainsi que les rappels. Vous devriez consulter un professionnel de la santé au moins quatre à six semaines avant le voyage. Les vaccins de routine comprennent les vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR), la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, la varicelle, la polio et le vaccin annuel contre la grippe. Les voyageurs devraient envisager de se faire vacciner contre le COVID lorsqu’un vaccin est disponible, même si le pays de destination ne l'exige pas.
Choléra : Sauf contre-indication, il est recommandé aux personnes qui séjournent dans des zones endémiques ou dans lesquelles des flambées épidémiques sont en cours. Le vaccin n'est pas disponible dans tous les pays. Le vaccin contre le choléra ne remplace pas un lavage soigneux des mains à l'eau et au savon, une bonne hygiène personnelle et des précautions concernant l'eau et les aliments. Il existe trois vaccins anticholériques oraux préqualifiés par l'OMS : Dukoral, Shanchol et Euvichol. Tous ces vaccins nécessitent deux doses pour assurer une protection complète. Pour le Dukoral, l'intervalle entre les doses doit être d'au moins sept jours et de six semaines au maximum. Pour le Shanchol et l'Euvichol, un délai minimum de deux semaines doit être respecté entre chaque dose de ces vaccins. Des doses de rappel sont recommandées après deux ans.
Hépatite A : Recommandé pour la plupart des individus, sauf contre-indication. Deux doses, administrées à au moins six mois d'intervalle, sont nécessaires pour obtenir une protection durable. Il est recommandé que toutes les personnes sensibles voyageant, quel que soit l'objectif, la fréquence ou la durée, dans des pays où l'hépatite A est fortement ou moyennement endémique, soient vaccinées ou reçoivent des immunoglobulines avant leur départ. Un rappel est recommandé pour les voyageurs partiellement vaccinés (c'est-à-dire ceux qui n'ont pas reçu une série complète de vaccins contenant l'hépatite A). Une dose suffit généralement à protéger un adulte en bonne santé pour un voyage international. La vaccination assure une certaine protection en quelques jours, mais devrait idéalement être administrée au moins deux semaines avant le voyage.
Hépatite B Recommandée pour de nombreuses personnes, sauf contre-indication. Les formulations largement utilisées nécessitent trois doses administrées sur une période de six à 18 mois, en fonction de l'âge du receveur et de ses antécédents de vaccination. Les doses de rappel après la série complète ne sont généralement pas nécessaires pour maintenir l'immunité. En cas d'exposition avant la fin de la série complète, les personnes peuvent recevoir un rappel spécial dans les 24 heures pour bénéficier d'une protection à court terme.
Méningocoque : Recommandé aux personnes qui se rendent dans un pays où la méningite à méningocoques est présente et où leur séjour peut être prolongé ou qui participent à des activités susceptibles d'augmenter leur risque personnel d'exposition à la maladie, comme le fait de travailler dans un établissement de soins de santé et/ou de vivre en étroite collaboration avec la population locale. Il existe plusieurs formules qui couvrent les différentes souches de méningocoques : A, C, Y, W135 ou toutes. Le vaccin contre le sérogroupe B est disponible dans certains pays et est administré pendant les épidémies ou aux personnes séjournant dans une zone touchée. Idéalement, le vaccin devrait être administré au moins sept à dix jours avant le voyage. Sauf contre-indication, une dose est nécessaire, avec un rappel trois à cinq ans plus tard. Certaines personnes peuvent ne pas avoir besoin d'un rappel - consultez un prestataire de soins.
Polio : Recommandé pour tous les individus, sauf contre-indication. Le vaccin antipoliomyélitique inactivé (VPI) est recommandé lorsqu'il est disponible, mais le vaccin antipoliomyélitique oral (VPO) est également une option. Les formulations couramment utilisées nécessitent entre une et quatre doses, en fonction de l'âge du patient et de ses antécédents en matière de vaccination. En raison du risque accru de polio dans ce pays, l'OMS recommande vivement à tous les résidents et visiteurs y séjournant pendant quatre semaines ou plus de recevoir une dose de vaccin antipoliomyélitique au moins quatre semaines à 12 mois avant de quitter le pays.
Rage : Sauf contre-indication, ce vaccin est recommandé aux personnes dont les activités les mettent en contact direct avec des chiens, des chauves-souris et d'autres mammifères, aux voyageurs de longue durée et aux expatriés, ainsi qu'aux enfants. La vaccination pré-exposition nécessite deux doses administrées sur une période de 7 jours. La vaccination post-exposition reste nécessaire en cas d'exposition potentielle à la rage, mais un cycle complet de vaccination pré-exposition réduit la durée du traitement post-exposition et élimine le besoin d'immunoglobulines antirabiques, qui peuvent être rares dans de nombreuses régions. Pour les personnes déjà vaccinées, la prophylaxie post-exposition (PEP) consiste en deux doses réparties sur trois jours. Pour les personnes non vaccinées, la PPE consiste en l'administration d'immunoglobulines antirabiques et en une série de 4 injections de vaccin antirabique sur 14 jours. La rage est signalée chez les animaux domestiques et sauvages au Burundi. Les chauves-souris sont susceptibles d'être porteuses du virus de la rage.
Tuberculose Non disponible dans tous les pays. La vaccination par le BCG (vaccin contre la tuberculose) donnera un résultat "faux positif" au test cutané de la tuberculose. Si vous recevez ce vaccin, demandez un autre test de dépistage de la tuberculose. Le vaccin est généralement recommandé aux personnes envisageant des séjours prolongés dans des zones fortement endémiques, et plus particulièrement aux personnes travaillant dans le secteur de la santé, dans des prisons ou dans des installations pour animaux. La protection à court et à long terme du vaccin BCG est très variable selon les individus.
Fièvre typhoïde Recommandée pour la plupart des individus, sauf contre-indication, notamment celles visitant des amis ou de la famille dans des zones endémiques, celles en contact avec une personne infectée, les jeunes enfants, les voyageurs en séjour prolongé et les personnes séjournant dans des zones où l'hygiène est sujette à caution. Disponible en formulations injectables et orales (entre deux et quatre doses, selon la formulation et les antécédents de vaccination du receveur). Une vaccination de rappel est nécessaire tous les deux ou cinq ans, selon la formulation. La dernière dose doit être administrée au moins une semaine avant le voyage.
Au Burundi, vous pouvez appeler la police en composant le 117, les pompiers en composant le 118, services d'urgence 112
Police : 117 ; Pompiers : 118 ; Services d'urgences : 112
Le Burundi a un climat tropical. Les températures varient en fonction de l'altitude. Dans les régions basses (Imbo), elles atteignent 23°C tandis qu'en altitude (Mont Heha), elles ne dépassent pas 15°C.
La meilleure période pour se rendre au Burundi reste la saison sèche qui s'étend de juin à septembre. Le reste de l'année est modérément humide. Le climat dépend de l'endroit où vous vous trouvez : en plaine et dans les montagnes du nord, les températures sont plus douces.